Le concept hôtelier
Un point de départ en trois constats:
- L’offre hôtelière actuelle est segmentée par l’unique critère des standards de prestation. Elle ignore des pans entiers de sa clientèle naturelle qui ne peut que se tourner vers les hébergements collaboratifs. Ce type d’hébergements a connu une croissance importante, à l’échelle de la croissance du marché et de la non réponse du secteur professionnel, jusqu’à poser un problème d’urbanisme et social.
- Le transport et l’hébergement sont les « dépenses subies » par rapport aux « dépenses choisies », que sont les contenus culturels, sportifs ou de découverte motivant le voyage.
- Les choix de l’hébergement et de son format sont fortement conditionnés par les périodes de la vie, les façons de voyager mais également les moyens financiers corolaire de la démocratisation du voyage.

Partant de ces constats, nous avons créé le concept du Yooma Urban Lodge sur trois bases:
- Proposer le « bon produit au bon moment » : Les moyens financiers et l’âge conditionnent la dimension de la cellule de voyage (seuls, à deux ou groupe d’amis ou famille) et évoluent généralement de concert. Nos clients trouvent dans le format de nos chambres la parfaite adéquation avec leurs besoins et font ainsi un arbitrage optimisé de leur budget voyage en bénéficiant de services et de plus de confort que d’autres hébergements alternatifs.
- « Reproduire l’essentiel sans dupliquer » : Le concept de Yooma se fonde sur deux éléments clefs : (a) le format des chambres (une « constante ») et (b) la création d’un écosystème inspiré du lieu d’implantation de manière à la fois spécifique, reproductible et renouvelable pour faire de l’hôtel un hôtel de destination (la « différence »).
- Yooma un produit « universel » : Yooma a sa place dans tous les marchés urbains où la part « loisirs » dans le nombre total de nuitées est significative dans le contexte d’un marché hôtelier local large et diversifié. Al’inverse des hôtels destinés à une clientèle exclusivement « affaires », Yooma, par sa structure de chambres, sera, mieux à même de tirer parti de toutes les périodes « hôtelières » en optimisant l’exploitation des périodes « loisirs ».
